Suite à l’audit réalisé par le gouvernement sur la gestion du Fonds national de microfinance (FNM), plusieurs irrégularités ont été constatées.
Dans l’optique de voir clair dans cette situation, 10 présumés coupables ont été mis aux arrêts provisoires. Depuis vendredi 16 mars aux environs de 22 heures, leur libération a été effective.
Le chef d’accusation à leur encontre était « blanchissement et détournements de fonds publics ».
Ce qu’a révélé le rapport d’audit du FNM au titre des exercices 2013 à 2016 commandité par le gouvernement Talon.
Ils étaient convoqués le 23 février 2018 par la justice béninoise et mis sous mandat de dépôt dans cette affaire de mauvaise gestion au Fonds national de la microfinance.
Après 21 jours de détention, 7 cadres retournent rejoindre leur famille. En attendant la suite du dossier et le sort des trois autres, ces cadres sont désormais libre de leur mouvement.
G. A.