Le vendredi 6 avril dernier, l’Ong Bénin villes propres a procédé à la cérémonie du lancement officiel des premières poubelles dans la ville de Cotonou, c’était au Bénin Royal Hôtel de Cotonou en présence des autorités politico-administratives et devant un parterre des hommes de médias.
La présente cérémonie s’est penchée sur les modalités et la façon de conduire les sensibilisations de l’assainissement des villes du Bénin par les poses de poubelles à différentes artères de la ville de Cotonou par l’Ong Bvp dont le slogan est « une ville propre, des vies sauvées ». A l’entame, le président de l’Ong Bvp Alain L. Adjibadé saluant tous les invités en leur remerciant d'accorder de leur temps à cette cérémonie officielle de lancement de poses des premières poubelles symboliques en face du Bénin Royal Hôtel et ensuite devant la direction de la douane de l’aéroport, poursuivit : « c’est une vaste campagne de salubrité qui s’entreprend et dont le top est donné », c'est également un projet qui va inciter toute la population à prendre soin de son milieu de vie et de lutter efficacement contre toute tentative de pollution environnementale. Ong Bvp entend ainsi avec l'aide de ses partenaires soutenir l’initiative visant à rendre la ville de Cotonou et autres propres. Quant au coordonnateur du projet Rodrigue Tohounou, s'est réjoui de l’initiative en disant : « la gestion des déchets de la ville de Cotonou est une nouvelle approche pour soutenir les villes pour un assainissement ». Ensuite, il s'en est suivi l’allocution du préfet du Littoral Modeste Toboula qui n'a fait que remercier les partenaires à l’Ong Bvp, car sans eux, il ne serait pas évident de réaliser les activités de l’Ong Bvp. Ainsi, il témoigne de la disponibilité de la mairie de Cotonou et du ministère du cadre de vie à accompagner l’Ong dans l’atteinte des objectifs qu’il s'est fixé. Et qu'il existe une disponibilité d'un fonds de 25.000.000 de nos francs réuni par les partenaires, ce qui a permis de réaliser 50 poubelles de bonne qualité et 10.000 exemplaires de sac à papier. Ce qui permettra la lutte pour un cadre de vie sain et décent, qui n’est qu’une affaire de tous, un défi commun à relever ensemble.
Kamar ADJIBADE