Le journaliste, écrivain Jérôme Carlos et Thomas Boya viennent de publier un essai intitulé La richesse c’est moi, c’est toi et moi. Une œuvre qui démontre qu’on ne devient pas riche seul.
L’essai La richesse c’est moi, c’est toi et moi de Thomas Boya et Jérôme Carlos comporte trois parties. La première partie compte deux sections. La première s’intitule « De l’erreur » et la deuxième, «…A la vérité ». La deuxième partie est titrée : « La richesse et l’argent : le mot et la chose ». Cette partie se développe sous deux sections. Premièrement, « La richesse, qu’est-ce ? » ?, deuxièmement, « L’argent, qui es-tu ? ». La troisième partie qui constitue la dernière partie est subdivisée également sous deux sections. Première section : « Les bornes-repères sur la voie de la richesse. Les voies et moyens qui conduisent à la richesse ». Deuxième section : « Des modèles et des exemples édifiants sur le chemin de la richesse ».
Dans la première partie, les auteurs montrent que la source du pouvoir de l’homme est intérieure. Chaque individu a le devoir d’arracher son droit et de se prendre en charge. Il doit œuvrer pour sortir des ténèbres de l’ignorance. Selon les auteurs, « Dans les ténèbres, on tâtonne, on erre, on dérive, on se trompe et on trompe les autres ». C’est pour cette raison que la connaissance du monde et de l’univers s’avère indispensable. Le travail en équipe est la voie la plus souhaitée qui conduit à la richesse, selon eux. De même, penser par soi-même et pour soi-même, le partage de ses pensées dans son équipe, assure son propre bonheur, soutiennent-ils.
La deuxième partie conduit le lecteur à la pensée de Napoléon Hill : « Tout ce que l’esprit de l’homme peut concevoir et croire, l’esprit de l’homme peut le réaliser ». Ainsi tire chacun son pouvoir de lui-même en coopération harmonieuse avec d’autres. Ce qui oblige à l’humilité. A en croire les auteurs, « La richesse n’est possible que si l’individu s’associe avec d’autres individus. Car l’individu tout seul n’est pas riche. Pour l’être sûrement et véritablement, l’individu a besoin d’être en coopération, en collaboration avec d’autres esprits ». La richesse est une pensée constructive et positive. Elle part d’une attitude mentale positive, l’attitude de l’homme qui se connaît et se reconnaît puissant et croit profondément en ses capacités intérieures.
Dans la troisième et dernière partie de l’ouvrage, Jérôme Carlos et Thomas Boya montrent les voies et moyens qui conduisent à la richesse. A travers ces voies et moyens, les auteurs partagent avec le lecteur la pensée de William James : « Changez votre attitude mentale et vous pouvez changer votre vie ». Cela révèle que celui qui fait l’option de se construire et de construire sa vie sur la foi d’une attitude mentale positive, fait un choix fondamental. Aussi les auteurs montrent l’utilité de la prière et l’exercice physique qui sont de puissants carburants et qui procurent à tout homme, force, puissance, pouvoir et autonomie.