Ouverture à Cotonou de la 4e session de la Grande commission mixte de coopération bénino-belge #aCotonou

Diplomatie

Ouverture à Cotonou de la 4e session de la Grande commission mixte de coopération bénino-belge

Publié le vendredi 1 mars 2013 | Xinhua

© Autre presse par DR
Le secrétaire général du ministère béninois des Affaires étrangères et de l`Intégration africaine, Pamphile Goutondji

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COTONOU -- La quatrième session de la Grande commission mixte de coopération entre la Belgique et le Bénin en vue de l’adoption d’un nouveau programme indicatif pour la période allant de 2013 à 2017 s’est ouverte ce jeudi au ministère béninois des Affaires étrangères et de l’Intégration africaine.

"Cette session, qui s’ouvre en ce jour, sera certainement l’occasion pour nous, de jeter un regard rétrospectif sur le chemin parcouru ensemble, d’identifier les forces et faiblesses de notre partenariat, en vue de dégager des perspectives pour le nouveau programme indicatif de coopération", a déclaré le secrétaire général du ministère béninois des Affaires étrangères et de l’Intégration africaine, Pamphile Goutondji.

"Au cours de ces cinq dernières années, la coopération entre le Bénin et la Belgique s’est enrichie de nombreuses réalisations dans les secteurs de la santé, de l’agriculture et de la décentralisation", s’est-il réjoui.

En effet, a-t-il souligné, le programme indicatif de coopération, au titre de la période 2008 à 2012, a permis la réalisation de nombreux projets dans les différents domaines d’intervention, qui ont contribué à l’amélioration des conditions de vie des populations béninoises, notamment dans les départements administratifs du Mono-Couffo et de l’Atakora-Donga.

Le Bénin est l’un des 18 pays partenaires de la Belgique en matière de coopération internationale. Cette coopération s’est progressivement développée depuis les années 1980s avec pour objectif principal de contribuer à réduire l’incidence de la pauvreté sur la population.

Elle est très active dans les secteurs de la santé, de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, de la consolidation de la société (décentralisation et justice) ainsi que de l’éducation et de l’eau.

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