Les malfrats ont repris du service dans la commune d’Abomey-CalAvi. Et pour cause, cette semaine à Aïtchédji et Agori, plusieurs maisons et boutiques ont été vidées de leurs contenus. Des motos, appareils électro-ménagers, des tissus et des sommes d’argents ont été emportés par ces divorcés sociaux. Et, pour des plaintes, des constats, et des enquêtes, la plupart de ces cas de cambriolage ont été portés à la connaissance du commissariat central d’Abomey-Calavi. Ainsi, après quelques mois d’accalmie, ces malfrats signent leur come-back et ils opèrent en toute quiétude de jours comme de nuits. Désormais, dans la commune d’Abomey-Calavi, c’est l’inquiétude avec ces associations de malfaiteurs qui ont repris du service. Epris de gains faciles, ces bandits, avec différents modes opératoires, braquent, cambriolent donc allègrement les biens des paisibles populations sans être inquiétés. Et puisque personne n’est à l’abri de la visite de ces dangereux malfrats, c’est la panique générale dans la commune. Car, on dirait que les hors-la-loi ont réussi à contourner les stratégies sécuritaires mises en place par les forces de l’ordre pour lutter contre le banditisme. Les responsables de la police républicaine sont alors interpelés. Le Directeur général de la police républicaine, le Général Hounnonkpè et ses hommes sont invités à mettre tout en œuvre pour démanteler ce réseau de malfaiteurs afin de garantir la sécurité aux paisibles populations du Bénin en général et celles de la comme d’Abomey-Calavi en particulier. Sinon, si on ne peut plus se sentir en sécurité chez soi, où peut-on encore l’être ? En principe, sous la rupture, l’insécurité ne devrait plus avoir droit de cité. Car, la fusion des anciennes police nationale et de la gendarmerie nationale devrait être synonyme d’unité de forces pour mieux sécuriser les personnes et des biens. Cela y va de l’honneur de ces hommes en uniformes…
Isac A. YAÏ