Un homme de vision et de défis, le chef de l’Etat montre de quoi il est capable depuis sa prise de pouvoir en 2016. Des projets ambitieux, des engagements concrets, il mène le bateau à bon port. Avec le lancement de bien des projets, la lutte contre la corruption, il va à pas d’athlète. Malheureusement, les critiques s’enflent de la part de ceux qui dix ans durant n’ont pu rien faire pour le développement.
C’est difficile de comprendre. Et pourtant c’est bien vrai. Les querelles politiques anti-développement contre les actions nobles constituent l’une des plus grandes difficultés que connaît le Bénin depuis des lustres. Il est difficile de comprendre que depuis les indépendances à ce jour, le Bénin n’a pas trouvé l’homme idéal pour sa gestion. Avec les nombreuses péripéties ayant conduit à la conférence nationale des forces vives de la nation, le pays n’est toujours pas sorti de cette situation qui entrave son développement. Les différents chefs d’Etat ayant conduit le pays jusqu’en 2016, ont montré tant leurs points forts que leurs faiblesses. Malgré leur volonté de gérer avec transparence, la politique a très tôt pris le pas sur les actions de développement. Pendant les dix dernières années, le pays a été secoué par la haute corruption sous toutes ses formes, le mensonge, les nominations fantaisistes, l’anarchisme dans les dépenses publiques. Mais, à travers des grognes, des marches, des luttes diverses, le peuple béninois s’est engagé à forcer les mains aux politiques pour la poursuite les indélicats, des délinquants financiers. Ceux-là mêmes qui ont géré les finances publiques comme leur caisse familiale. Malheureusement, cela n’a reçu aucun écho favorable de la part des politiques qui étaient devenus la couverture de ceux-ci.
Aujourd’hui, ces attitudes disparaissent avec la nouvelle gouvernance. Seulement qu’il est difficile de comprendre que ce même peuple devient réfractaire à la lutte contre la corruption engagée par le chef de l’Etat, Patrice Talon.
Les manipulations n’ont cessé dans le rang des politiques. Comme de leurs habitudes, il faut détruire tout ce qui est bon. C’est ce à quoi se donne l’opposition cette fois-ci. Une opposition qui pourtant était aux actions il y a quelques années. Ils deviennent de bons gestionnaires et entendent convaincre le peuple de la mauvaise gestion et de la lutte ciblée contre la corruption. Toute chose qui a été leur point fort durant dix ans. Le peuple aujourd’hui doit accepter le développement et ne pas prendre en compte les allégations de ces opposants. Il est clair que l’état actuel du pays n’est en rien comparable aux dix dernières années sur bien de domaines. Inutile de les énumérer puisque sur aucune piste, l’on ne peut faire la comparaison. Il faut se demander sur quoi surfe l’opposition contre le chef de l’Etat.
Des reproches incohérentes, une opposition perdue
Plusieurs allégations s’enflent de jour en jour pour montrer au peuple béninois que le pays va mal. Tout chose contraire à la réalité du terrain. Les promesses tiennent déjà leurs fruits. Plus de doute avec les actions diverses qui se mènent avec en dernier ressort le lancement du projet Asphaltage. Aujourd’hui, l’opposition peine à voir les promesses électorales devenir une réalité. Elle reproche au chef de l’Etat d’avoir annulé les concours frauduleux qui ont été organisés sous forme de copinage. Ces concours sont aujourd’hui la base même de la destruction du système éducatif et de l’administration béninoise bondée d’incompétences et de faux diplômés. Aussi reproche-t-on au chef de l’Etat d’avoir à cœur l’assainissement des finances publiques. Toute situation qui aujourd’hui, met fin au règne de la mafia longtemps entretenue par les cadres susceptibles de lutter contre la corruption. Le cas du garage central de l’Etat où les moteurs des voitures neuves étaient substitués reste toujours gravé dans les mémoires. Les mêmes se passe maintenant pour des saints vivants. Même après avoir économisé plus 30 milliards FCFA à travers le leasing, l’opposition béninoise en est réfractaire. La suspension des évacuations fantaisistes ou les agences de voyage et des sociétés écrans surfacturaient les billets. C’est bien difficile de comprendre la mentalité des cadres pourtant réputés pour penser développement. Le peuple béninois qui pourtant se réjouit de la fin du rançonnement sur les voies passe aux yeux des opposants comme victime de cette décision salutaire. C’est aussi l’une des reproches faite au chef de l’Etat pour avoir initié des actions en justice contre les fossoyeurs de l’économie nationale. L’autre chose qui bien que voulue par le peuple est décriée aujourd’hui est celui de la réforme du système partisan qui met fin au règne des petits partis ou clubs électoraux. Le peuple doit savoir raison garder suivant les positions de ceux qui dix ans durant ont montré leurs limites à lutter contre la corruption, à organiser des concours dignes pour permettre aux méritants d’avoir leur part. Si pendant dix ans le peuple a toujours dénoncé la mauvaise gestion, la corruption, l’acharnement, ce n’est pas aujourd’hui que ceux-là qui ont entretenu ces indélicatesses soient amnistiés. Comme ils ont su le dire, chacun doit répondre de ses actes. Le peuple doit se démarquer de ces opposants réfractaires au développement pour accompagner le chef de l’Etat dans ses réformes.