Le Bénin amorce une nouvelle phase de son développement. C’est ce que révèlent les nombreuses actions du gouvernement à travers les grands chantiers, les voyages de mobilisation de ressources du chef de l’Etat et la volonté des investisseurs qui accourent vers le Bénin. Les différentes performances réalisées ces dernières années et la maîtrise de l’environnement des affaires constituent aujourd’hui, un plus pour l’économie béninoise sous le président Patrice Talon.
Le gouvernement de Patrice Talon fait son bonhomme de chemin. Avec des ambitions hors commun, le chef de l’Etat montre déjà au peuple qu’il peut arriver à bout de ses ambitions. Les nombreuses réformes entamées par le gouvernement mettent déjà le pays sur orbite pour l’attraction des investisseurs étrangers. En témoignent les statistiques relatives aux performances économiques. En 2017, le taux de croissance du PIB réel est évalué à 5,5 %, en progression par rapport aux 4 % de 2016. Les projections pour 2018 et 2019 sont aussi prometteuses avec des taux respectifs de 6,1 % et 6,5 %. Ces performances se reposent sur le programme d’actions du gouvernement qui opte pour l’optimisation des ressources et la bonne gestion. Les nombreux défis auxquels fait face le gouvernement de la Rupture, font partie des raisons qui attirent les investisseurs étrangers. Ce qui se révèle à travers l’affluence des partenaires techniques et financiers pour l’exploration du sous-sol béninois et l’investissement. Les grands chantiers en cours et l’assainissement de l’environnement financier redonnent confiance aux investisseurs qui courent vers le pays. L’assainissement de l’environnement institutionnel et des affaires, la réforme des codes minier et pétrolier, la bonne gouvernance, la sécurisation des investissements à travers les fonds de garantie et autres sont autant d’atouts qui attirent depuis quelques mois les investisseurs.
Un défi que le chef de l’Etat Patrice Talon a à cœur.
La révélation des richesses du sous-sol et sa contribution au développement constitue l’une des raisons pour lesquels le Bénin devient un pays prisé dans la sous-région en matière d’investissements.
Le gouvernement dans son combat de réduire les dépenses publiques tout en orientant les financements vers les secteurs porteurs, devrait contribuer à fait redescendre le déficit à 4,8 % en 2018 et 3,1 % en 2019. Ceci au regard de la politique fiscale plus restrictive à partir de 2017 visant à atteindre les 3 % fixés par l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Ce qui passionnent les partenaires qui, en retour apportent leur touche à la réalisation du PAG.
C’est le cas du FMI qui a approuvé un accord triennal de crédit d’un montant de 151,03 millions de dollars EU afin d’aider le Bénin à mettre en œuvre les réformes du PAG soutenant les investissements tout en préservant la soutenabilité de la dette en 2017. Lesdites réformes visent à diversifier l’économie dans divers secteurs notamment l’agriculture et l’agro-industrie, l’élevage, la pêche et le tourisme.
Le secteur agricole avec les performances jamais égalées dans le domaine du coton donne un coup de pousse à l’économie. Dans ce même domaine, plusieurs actions sont menées dans le but de la diversification des cultures. La production de contre saison est aujourd’hui, un défi qu’entend relevé le gouvernement avec les producteurs. L’agro-industrie n’est pas épargnée puisque le Bénin entend dans les prochaines années devenir l’un des plus grands producteurs dans la sous-région. D’autres secteurs comme le tourisme, l’élevage et la pêche sont aussi des domaines visés par le PAG pour contribuer au progrès économique.
Le scanning du territoire ayant révélé les nombreuses richesses du sous-sol fait courir les investisseurs étrangers pour accompagner le gouvernement dans la diversification des sources de richesse.
Les nombreux engagements pris par le chef de l’Etat et l’échéance de 2021, constitue aujourd’hui, des défis qu’il entend relever. Sa prochaine visite en Chine témoigne de sa volonté de mobiliser les ressources pour la réalisation sans ambages du programme d’actions du gouvernement.