Après son check up en France : Rosine Soglo de retour au bercail

Publié le jeudi 16 aout 2018 | Nord Sud

© aCotonou.com par Didier Kpassassi et Didier Assogba
La présidente fondatrice de la Renaissance du Bénin, Rosine Soglo et le président d’honneur Nicéphore Soglo font une sortie médiatique et réaffirment leur paternité sur la Rb
Cotonou, le 18 mai 2018. Lors de cette sortie, Ils ont reçu pour l’occasion, le soutien de nombreuses personnalités politiques notamment : Philippe Noudjènoumè, Basile Ahossi, Léonce Houngbadji, Candide Azanaï, Joseph Tamègon, Maxime Houédjissin

En France pour un check up depuis quelques semaines, la doyenne d’âge de l’Assemblée nationale, Rosine Vieyra Soglo est rentré ce mercredi 15 août à Cotonou, Bénin. Face à la foule de militants de son parti la Renaissance du Bénin (RB), elle a invité les béninois au calme et à la sérénité.

Elle n’est pas morte, elle est encore sur ses deux pieds pour continuer la lutte visant la pérennisation de la démocratie béninoise. En effet, hospitalisée dans l’hexagone depuis peu, Rosine Soglo a été annoncée morte il y a quelques jours. Sa disparition a été démentie par son fils Ganiou Soglo, joint au téléphone par les confrères de la radio nationale le 03 août dernier. La Présidente fondatrice de la Renaissance du Bénin foulera, Rosine Vieyra Soglo est à son domicile à Cotonou au Bénin, le sol de sa patrie, depuis hier mercredi 15 août 2018. Occasion pour Rosine Soglo affectueusement appelée « Mémé Nationale » d’inviter les béninois au calme et à la sérénité. Bientôt, on célébrera de la plus belle des manières mon retour si Dieu nous prête vie a-t-elle déclaré.

Il faut préciser que du fait du voyage, elle a l’air un peu fébrile mais la lucidité y est. Dans une liesse populaire et des slogans « vive mémé », elle a été conduite à l’intérieur de son domicile afin de se reposer.

Pour sa part le president Nicéphore soglo se désole de la gestion des chefs d’Etat africains notamment de celui du Benin. Il pense que l’Afrique en particulier le Bénin doit revoir sa politique sociale. Dans cette veine, l’ancien président souhaite des béninois, l’union. De plus, il pense que pour le développement de l’Afrique il s’avère impérieux d’avoir sa propre monnaie et une armée fédérale. Pour preuve, il cite la Chine et l’union Soviétique.

Méchac J. AHODI

Commentaires

Dans le dossier