Nommés récemment, le Directeur général par intérim de l’Office national d’imprimerie et de presse (Onip), Bertin Sowakoudé, et le Directeur de publication par intérim du journal La Nation, Paul Amoussou ont pris langue avec les travailleurs de l’office, vendredi 7 septembre dernier. Instant de vérité.
Réunis dans la grande salle de conférence de l’Office national d’imprimerie et de presse (Onip), vendredi 7 septembre dernier, c’est à une exhortation au travail et à une conscience professionnelle accrue que les travailleurs dudit office ont eu droit, de la part de la nouvelle direction qui a pris fonction lundi 3 septembre 2018.
Bertin Sowakoudé, directeur général par intérim de l’Onip a, sans détour, indiqué qu’il n’entendait pas perdre du temps avec des considérations intempestives qui ne contribueront en rien à la bonne marche de l’office et ne génèreront aucunement de plus-value pour la maison, plus-value nécessaire pour aller de l’avant, améliorer les conditions de travail à travers des réponses appropriées aux demandes socioprofessionnelles, aux intérêts matériels et moraux des travailleurs. Il a, à l’occasion, rappelé qu’étant de la maison, il est de ses réalités, ce qui ne l’a pas empêché avec le directeur de publication, peu après leur prise de fonction, de tenir une séance de travail avec les chefs de service et de section pour prendre connaissance des urgences et des attentes.
Pour un nouveau départ
Prenant la parole à son tour, le directeur de publication par intérim, Paul Amoussou, a mis l’accent sur les axes d’intervention déclinés par le directeur général, faisant valoir qu’il faut désormais envisager deux thématiques majeures pour la bonne marche de l’office : la fonction travail, qui réunit au sein de l’Onip tous ses sociétaires, et pas d’autres considérations qui ne peuvent qu’être accessoires, puis intégrer la dynamique du nouveau départ, qui, loin d’être un slogan ou un leitmotiv, est une exhortation à changer de paradigmes, à se départir des mauvaises habitudes pour des résultats plus probants tel qu’imprimé depuis le sommet de l’Etat et au niveau de l’autorité ministérielle de tutelle.
C’est par une exhortation au respect des règles et normes qui régissent l’office qu’il veut pacifié, uni et dévoué à l’œuvre, ainsi que plein d’entrain au travail que Bertin Sowakoudé a mis un terme à cette rencontre. Elle s’est voulue pédagogique dans le cadre d’une prise de contact ayant permis de situer les uns et les autres sur la nouvelle dynamique qui sera impulsée à l’Onip. A noter que certains agents de l’office, au cours des échanges, n’ont pas manqué de faire écho à la nouvelle impulsion que les responsables de l’office entendent désormais lui imprimer.