Adhésion au « Bloc progressiste »: Le CDS-Finagnon donne carte blanche à Aké Natondé

Publié le mardi 23 octobre 2018 | L`événement Précis

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Ake Natonde,ancien Ministre des Travaux publics depute et candidat aux presidentielles de 2016

Plus rien ne bloque le leader charismatique du « Congrès pour le développement et la solidarité-Finagnon » (CDS-Finagnon), pour son adhésion au Bloc progressiste » de la majorité présidentielle. L’honorable Aké Natondé, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a reçu l’onction des membres de son parti politique pour conduire la majorité présidentielle à la victoire lors des élections législatives, communales et présidentielles prochaines. Le quitus a été donné à Aké Natondé, l’enfant choyé de la région d’Agonlin, le samedi 20 octobre à l’issue d’une tournée d’information qui a conduit ce dernier à Covè puis Zagnanado. A chaque étape, des séances d’explication ont permis au leader du CDS Finagnon de porter la voix des militants au sein du bloc. Au terme des échanges, il ressort que les militants du CDS-Finagnon adhèrent sans ambages au choix de leur leader d’intégrer leur parti au « Bloc progressiste », au regard de son charisme et son sérieux. L’occasion a été pour les militants du CDS Finagnon, de clamer aussi leur soutien au chef de l’État et souhaiter la réussite de ses actions. Les retombées des réformes engagées par Talon se faisant déjà sentir dans les ménages, les militants du CDS-Finagnon encouragent Patrice Talon à les poursuivre pour que se développe véritablement, « notre pays commun, le Bénin ».

Des explications objectives

Lors de la tournée, c’est la Maison des jeunes de Covè qui a reçu la délégation ainsi que les membres des cellules locales, communales et départementales du CDS-Finagnon et les autres militants qui ont, en premier, échangé sur les réformes du Code électoral et la Charte des partis politiques. Le foisonnement des partis politiques, des candidatures parfois très peu sérieuses, la prise en otage des partis par des particuliers disposant de moyens financiers, l’incapacité de ces partis à sortir de leur sein un chef de l’État, ont été énumérés par le vice-président du CDS-Finagnon, Isidore Hounwèdo, comme les raisons ayant sous-tendu ces réformes. Pour l’honorable Aké Natondé, les deux lois qui marquent une avancée majeure de l’histoire politique du Bénin sont à l’actif du président Patrice Talon. Il faut préciser que le bloc en construction compte aujourd’hui plus d’une vingtaine de partis et mouvements politiques au sein desquels on dénombre 29 députés et 35 maires. Ce poids politique que porte le « Bloc progressiste » rassure quant aux victoires lors des joutes électorales prochaines.

Emmanuel GBETO

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