En quittant tout début octobre Cotonou, le président du patronat béninois n’aurait jamais pensé à un voyage sans retour. La justice, « manipulée par Talon » selon lui aura accéléré son sort. Mais si sa demande d’asile est rejetée par la France, Sébastien Ajavon a plus d’un tour dans sa sacoche, la Grande Bretagne dont il a acquis la citoyenneté depuis peu pourrait être son dernier retranchement.