Le défi sécuritaire a été relevé par les éléments du commissariat central de Cotonou et des commissariats d’arrondissement dans la capitale économique durant la période des fêtes de fin d’année. Période souvent choisie par les divorcés sociaux pour troubler la quiétude des paisibles populations de la ville. Cette, des dispositifs sécuritaires ont été suffisamment affinés pour contrer les plans des individus mal intentionnés afin de permettre aux populations de Cotonou et environs de fêter en toute sécurité. D’abord, le duo Jean-Marie Seglè, commissaire central de Cotonou et Anicet Makponsè, commissaire spécial de Dantokpa ont su peaufiner les stratégiques pour traquer les malfrats et démanteler les ghettos. Des stratégies que se sont appropriées avec efficacité, les flics républicains au niveau des différents commissariats d’arrondissement. Ainsi, le commissaire spécial de Dantokpa, Anicet Makponsè et sa troupe effectuent de façon fréquente des visites dans le marché. Le comble, c’est qu’un système de bouclage du marché a été mis en branle par les flics spéciaux de Dantokpa. Ils sont donc présents et aux aguets. Les patrouilles se font à longueur de journée. Tout est bien ficelé pour faire reculer le grand banditisme. Des mesures fortes ont été aussi prises pour garantir la fluidité de la circulation dans la ville. Précédemment commissaire spécial de Dantokpa et actuel commissaire central de Cotonou, Jean-Marie Sèglè a réussi à instaurer, dans une approche appropriée, un climat favorable à la co-production de la sécurité publique. Un véritable satisfécit mérite bien d’être décerné au Directeur général de la police républicaine, Nazaire Hounonkpe et au directeur départemental de la police, Edouard Confo sans oublier, le préfet du littoral, Modeste Toboula.