L’adoption du nouveau code électoral a créé une vive polémique au bénin. Et en particulier la forte augmentation des cautions exigées aux candidats à la présidentielles et aux législatives. Moyen d’in finir avec les candidatures folklorique ou dérive vers du démocratie censitaire ?
«Une déclaration de guerre. » Rien de moins. Quand l’ancien président Nicéphore Soglo a commenté l’adoption du nouveau code électoral, le 3 septembre, il a sorti la sulfateuse : « En excluant brutalement et maladroitement des élections les jeunes, les pauvres, les déshérités, le gouvernement et ses alliés au Parlement ont poussé le bouchon trop loin. » La réforme est une refonte en profondeur, à même de provoquer une véritable recomposition politique.... suite de l'article sur Jeune Afrique