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Bénin : après le constat d`échec à l`Assemblée, l`absence de l’opposition aux législatives semble inéluctable

Publié le jeudi 4 avril 2019  |  Jeune Afrique
52e
© Présidence par DR
52e session de l`Assemblée parlementaire ACP & 36e session de l`Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE
Du 28 Novembre au 5 Décembre 2018. Cotonou (Dakar). S.E.M Patrice Talon à la 52e session de l`Assemblée parlementaire ACP & 36e session de l`Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE.
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L’absence de listes d’opposition aux législatives du 28 avril semble désormais acquise. Après l’échec des discussions menées à l’Assemblée nationale, les forces en présence s’accusent mutuellement de multiplier les stratégies dilatoires. Et les regards se tournent vers le président Patrice Talon.

« Je voudrais faire constater que nous sommes en fin de session et que nous n’avons pas encore reçu une proposition de lois de la part de l’opposition. L’ordre du jour se trouve épuisé… Je vais être obligé de clôturer la quatrième session extraordinaire », lance, visiblement dépité, Adrien Houngbédji, président de l’Assemblée nationale, sur un ton de dépit. Lundi, c’est sur ce constat d’échec que s’est clôt la session parlementaire ouverte le 18 mars pour trouver des solutions à la crise préélectorale. Au cœur de la polémique : la non-participation des partis de l’opposition aux législatives du 28 avril. Et à moins d’un mois du scrutin, les perspectives d’élections législatives inclusives s’éloignent inéluctablement.
Stratégies dilatoires

Malgré une dizaine de jours de négociations, députés de la mouvance et de l’opposition ne sont pas parvenus à s’entendre sur les voies de sortie de crise. Le comité mis en place par le président de l’Assemblée nationale, dans lequel siègent deux députés de la mouvance et deux députés de l’opposition, a bien étudié les propositions des divers partis politiques et proposé deux « lois dérogatoires et complétives » au nouveau Code électoral et à la nouvelle Charte des partis politiques, à l’origine de l’impasse actuelle.
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