Après des élections législatives marquées par une très forte abstention, l’opposition a demandé au chef de l’État, lundi 29 avril, l’arrêt du processus électoral. La présidence n'a pas tardé à réagir.
Au siège de la Renaissance du Bénin, rebaptisé « siège national de la résistance », ils sont tous là : les deux anciens présidents Boni Yayi et Nicéphore Soglo, son épouse Rosine Vieira Soglo, doyenne de l’Assemblée nationale, l’ancien ministre Candide Azannaï, le représentant de l’USL, Sébastien Ajavon, qui vit en exil en France, ainsi que le président du Parti communiste.... suite de l'article sur RFI