A côté de la littérature classique telle que connue de tout le monde, la littérature numérique existe également et présente autant de facteurs interessants qu’attirants. Un brillant exposé est présenté à ce sujet à l’institut Cerco, mardi 07 mai 2019 par le professeur Phillip Bootz. Comme son nom l’indique, il s’agit, selon le conférencier, d’une forme d’expression de pensées assise sur des supports de la nouvelle technologie, notamment l’ordinateur, les tablettes, les Iphones et autres. A en croire le panéliste, la base esthétique de cette forme de littérature dite numérique repose dans la variété de sonorités créées en toile de fond pour les écritures et les autres formes de graphisme qui apparaissent sur les écrans des outils exploités. C’est une véritable architecture textuelle qui a bien d’exigence. Elle demande non seulement la présence d’esprit mais aussi un niveau de culture recevable pour le moins qu’on puisse attendre. Selon les explications du conférencier, Phillip Bootz, cette forme de littérature qui a vu le jour, pour la première fois en Europe, plus précisément en France dans les année 1980, constitue une véritable chance pour la littérature mondiale. Ici dans cette numérisation de la littérature, l’écriture, l’oralité et la sonorité sont entremêlés d’une manière géniale. Autant que la littérature classique, la littérature numérique remplit également toutes les fonctions pouvant favoriser l’épanouissement de l’être. Elle est au premier plan ludique, diadactique et est une véritable source lutte sociopolitique. Pour ce qu’on peut retenir de façon substentielle de l’exposé de Phillip Bootz, la littérature numérique est d’une consommation immédiate et est pratiquable en tout lieu.