Hier lundi 11 Novembre 2013, les braqueurs ont encore frappé. Après avoir blessé leur victime qu'ils ont dépossédée du butin, les divorcés sociaux, ont pu s'évaporer dans la nature
En cette veille des fêtes de fin d'année, Cotonou renoue avec l'insécurité après une légère accalmie due à l'opération Djakpata. Hier aux environs de 10h, c'est un Indo-pakistanais qui a fait les frais d'un braquage intervenu à Sikècodji. La victime, visiblement suivi par ses agresseurs se rendait au temple spirituel " Yoga " indien situé à Sikècodji à quelques encablures d'un prêt-à porter de renom. " A peine arrivés devant le temple, et avant même que le chauffeur ne stationne, quatre individus qui se remorquaient deux à deux sur deux motos dames ont fait leur apparition ", raconte T. I. un témoin des faits. Aussitôt descendus, les malfrats intimaient au chauffeur l'ordre de couper le moteur et de descendre du véhicule. Son patron, la victime, a dès lors compris qu'il était la cible des vils braqueurs, il prit alors très vite l'initiative de sortir du véhicule et de s'empresser pour se réfugier dans le temple où il venait souvent pour ses moments de recueillement et de prière. Mais mal lui en a pris car il a été suivi par l'un des braqueurs qui n'a pas hésité à tirer à bout portant sur lui dessus. Ainsi, le hors-la-loi a pu lui arracher sa mallette contenant de l'argent. Les quatre braqueurs, sans être inquiétés, ont pu s'évaporer dans a nature et leur victime transférée d'urgence dans le centre de santé le plus proche. Quelques moments après, les agents de la police judiciaire, se sont portés sur les lieux pour les constats d'usage.