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Paul Hounkpè (FCBE) : Nous pensons que le chef de l’Etat est à l’écoute des composantes de la Nation

Publié le vendredi 11 octobre 2019  |  Fraternité
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© aCotonou.com par CODIAS
Paul Hounkpè, ministre de la Culture, de l`Alphabétisation, de l`Artisanat et du Tourisme (MCAT) lors du lancement de la 16ème édition du Salon national de l`artisanat du Bénin (SNAB)
Cotonou, 31 août. Esplanabe extérieur du Stade de l`Amitié. Lancement officiel du SNAB avec le ministre Paul Hounpkè de la Culture et Nadine Dako, ministre responsable de l`Emploi des jeunes et des petites et moyennes entreprises
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A l’occasion du dialogue national dont les travaux ont débuté hier jeudi 10 octobre 2019 dans la salle bleue du palais des congrès de Cotonou, Paul Hounkpè, Secrétaire Général du parti Forces Cauris pour un Bénin Émergent (Fcbe), s’est prononcé à l’entame de la rencontre et a exprimé les raisons de la participation du parti au dialogue.
Les FCBE sont présents à ce rendez-vous du dialogue politique. Que retenir des préalables que vous avez exigés ?
Nous pensons que le chef de l’Etat est à l’écoute des composantes de la Nation. Nous avons exigé que pour détendre l’atmosphère il faut qu’on puisse libérer les prisonniers politiques. C’est une préoccupation majeure. Lorsque vous n’apportez pas l’assistance nécessaire qu’il faut à des personnes qui ont des familles et qui malheureusement sont incarcérées du fait de leur opinion sur la situation politique de notre pays, vous comprenez que nous ne pouvons pas nous taire là-dessus. C’est la préoccupation fondamentale et ce sont les conséquences du programme de destruction de notre démocratie qui est en cours. Je pense qu’il est nécessaire que nous venions dire clairement que nous ne sommes pas d’accord avec la manière de gérer le pays surtout sur le plan politique.

Il y a une rencontre qui se tient aussi de l’autre côté de l’opposition. Seriez-vous représentés à ce niveau-là ?
Non, nous ne serons pas là-bas parce que la politique qui se mène jusqu’aujourd’hui semble ne pas apporter les résultats que les militants attendent. La rhétorique ponctuée de la philosophie passéiste a montré ses limites et nous pensons qu’il faut avancer. Il faut aller au concret.

Arnaud DOUMANHOUN
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