Par Eric TCHOGBO,
Le projet de budget du Conseil économique et social pour l’année 2020 s’établit à la somme de 1 milliard 882 millions 294 mille FCfa. Il connait une légère augmentation de 1,30 % par rapport à 2019, indique Claude Balogoun, le trésorier du Ces, qui a présenté le document aux députés. Pour 2020, le Ces envisage de réaliser une série d’activités régaliennes dont celles relatives aux saisines mais aussi aux préoccupations d’ordre économique et social que lui soumet souvent le gouvernement.
Plusieurs autres activités sont inscrites au rang des priorités et sur lesquelles le Ces formule des recommandations et des avis au chef de l’Etat et à l’Assemblée nationale. « On a rappelé beaucoup de sujets comme l’emploi, la production agricole, comment viabiliser et rendre pérennes les industries agricoles. Des sujets liés à la production du manioc, nous savons que nous faisons du gari avec le manioc mais on peut faire autre chose », souligne le trésorier du Ces. L’institution prévoit d’organiser en 2020 des séminaires sur un certain nombre de thèmes pour permettre aux populations de mieux vivre. Claude Balogoun se dit satisfait de son passage devant les parlementaires qui, selon lui, ont bien perçu l’enjeu et la mission du Ces.
Il a saisi l’occasion pour plaider pour le vote de la loi organique sur le Ces en souffrance depuis un certain nombre d’années dans les placards de l’Assemblée nationale. Il espère que les lignes vont enfin bouger avec l’assurance des députés qui tiennent à ce que l’institution soit davantage plus visible, plus solide et plus efficace.
Le projet de budget du Conseil économique et social pour l’année 2020 s’établit à la somme de 1 milliard 882 millions 294 mille FCfa. Il connait une légère augmentation de 1,30 % par rapport à 2019, indique Claude Balogoun, le trésorier du Ces, qui a présenté le document aux députés. Pour 2020, le Ces envisage de réaliser une série d’activités régaliennes dont celles relatives aux saisines mais aussi aux préoccupations d’ordre économique et social que lui soumet souvent le gouvernement.
Plusieurs autres activités sont inscrites au rang des priorités et sur lesquelles le Ces formule des recommandations et des avis au chef de l’Etat et à l’Assemblée nationale. « On a rappelé beaucoup de sujets comme l’emploi, la production agricole, comment viabiliser et rendre pérennes les industries agricoles. Des sujets liés à la production du manioc, nous savons que nous faisons du gari avec le manioc mais on peut faire autre chose », souligne le trésorier du Ces. L’institution prévoit d’organiser en 2020 des séminaires sur un certain nombre de thèmes pour permettre aux populations de mieux vivre. Claude Balogoun se dit satisfait de son passage devant les parlementaires qui, selon lui, ont bien perçu l’enjeu et la mission du Ces.
Il a saisi l’occasion pour plaider pour le vote de la loi organique sur le Ces en souffrance depuis un certain nombre d’années dans les placards de l’Assemblée nationale. Il espère que les lignes vont enfin bouger avec l’assurance des députés qui tiennent à ce que l’institution soit davantage plus visible, plus solide et plus efficace.