Comment voyez-vous les jeunes entrepreneurs digitaux du Bénin?
Le constat primaire, c’est qu’il y a un appétit pour le développement de ces genres de projets. Nous avons rencontré plusieurs acteurs du numérique. Nous nous sommes basés à Etrilab, nous avons échangé avec les responsables de Sèmè-City et autres. La jeunesse béninoise a vraiment un goût poussé pour l’entrepreneuriat digital.
Pensez-vous que cet écosystème du numérique a de l’avenir ?
Je trouve qu’il y a un fort potentiel. Ce qu’il faut faire, c’est le renforcement des capacités dans certains domaines qui sont liés au développement des compétences en affaires, par exemple la proposition de valeur et le business model pour la valorisation de l’entreprise. Le potentiel est là, il suffit juste de cultiver ces compétences en business pour son éclosion.
Quels conseils pourriez-vous donner aux jeunes aspirants à l’entrepreneuriat digital ?
Je les invite à travailler activement vers leur but. Ils doivent avoir toujours un objectif spécifique et clair et se focaliser sur un produit viable qui peut intéresser le marché.