L’ancien Maire de la Commune de Sèmè-Kpodji, Mathias Gbedan a signé il y a quelques semaines son retour sur la scène politique. Pour ses futurs combats politiques, l’homme a choisi le parti Union progressiste. Pour lui, ce come-back politique est suscité par les nombreuses réalisations du chantre de la rupture qui impactent positivement l’ensemble de la population et surtout sa commune.
L’ancien Maire de Sèmè-Kpodji, Mathias Gbédans est à nouveau dans la joie. Cette fois-ci, c’est la mutation que subit sa commune qui est la cause de ce état d’esprit. A la faveur d’un échange qu’il a eu ce lundi 17 février 2020 dans son cabinet avec certains jeunes faiseurs d’opinions sur l’actualité politique, l’ex-édile de l’hôtel de Ville de Sèmè-Kpodji a levé un coin de voile sur ce qui l’a poussé à revenir sur la scène politique et qui est aujourd’hui l’objet de sa joie. Selon sa confidence, les grandes réalisations du président Patrice Talon auraient réveillé en lui le militantisme politique. « Ce que le chef de l’État fait à Sèmé-Podji est du jamais vu. N’eût été le président Patrice Talon, ma commune n’aurait pas de visibilité. C’est pour le soutenir que je suis revenu en politique. », a-t-il fait savoir. Pour participer à cette oeuvre de construction de cette commune qui relie la capitale économique à la capitale politique du pays, Mathias Gbèdan a annoncé qu’il sera candidat aux prochaines élections communales.
Maire de la commune de Sèmè-Kpodji pendant 12 ans , Mathias Gbèdan a dû suspendre sa carrière politique après son incarcération le 30 juillet 2015 suite à son implication dans un dossier domanial. Libéré le 11 avril 2016, il s’est retiré de la scène politique et s’est muré dans un silence qu’il a rompu récemment en annonçant son come-back politique à côté des leaders su parti Union Progressiste. C’est d’ailleurs sous la bannière de cette formation politique à laquelle il a officiellement adhéré le 18 janvier dernier qu’il participera le 17 mai prochain aux élections communales pour tenter sa chance de récupérer le fauteuil qu’il a occupé déjà pendant 12 ans à la tête de la commune de Sèmè-Kpodji.