En décembre dernier, le journaliste avait été condamné en première instance à 18 mois de prison pour « harcèlement », suite à une plainte du procureur de la République. Ignace Sossou avait en fait rapporté ses propos tenus lors d'un atelier.
Avec notre correspondant à Cotonou, Jean-Luc Aplogan
Ce mardi matin, les avocats du plaignant ont demandé confirmation de la peine de première instance, ceux d'Ignace Sossou ont réclamé en revanche sa libération et le procureur général a fini ses réquisitions en demandant 12 mois de prison.
Tout au long de l’audience, Ignace Sossou a subi un interrogatoire musclé. « Les erreurs et les aléas des tweets en direct justifient ma présence ici devant vous, mais cela ne me rend pas coupable de cyber-harcèlement », a déclaré le journaliste en guise de conclusion.... suite de l'article sur RFI