Alassane Seïdou, ministre de la Décentralisation et de la Gouvernance locale, donne un coup d’accélérateur à la mise en œuvre de la décision gouvernementale sur la suspension de la cession des réserves administratives et leur recensement. Le ministre, à travers un message radio, à la suite de la décision prise en Conseil des ministres, le 24 juin dernier, a appelé non seulement les préfets et les autorités communales à suivre la nouvelle dynamique, mais aussi accomplir les diligences attendues dans un délai de 45 jours. Le délai imparti, lit-on dans le message radio numéro 650/Mdgl/Dc/Sgm/Ctj/Sa, expire le vendredi 18 septembre prochain. Et depuis quelques jours, c’est le branle-bas au niveau des mairies. Les maires et les membres de leurs équipes dirigeantes, notamment les cadres des services des Affaires domaniales, donnent le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire aux attentes du gouvernement. La circulaire adressée aux préfets, en début de ce mois d’août, les engageant à prendre « les dispositions idoines » en vue « de veiller à l’exécution sans délai par les maires » de la décision, rappelle les diligences à accomplir. Lesquelles sont relatives à l’établissement de la situation exacte de toutes les opérations de lotissement et de remembrement et la suspension de leur cession. La production de l’inventaire des réserves existantes, la mise à disposition de l’ensemble des contrats liés aux opérations de lotissement et le point financier de l’exécution des différents contrats font également partie des décisions prises par le gouvernement qui entend empêcher la cession opportuniste des réserves administratives dans toutes les communes. Préalables à l’instauration d’une gouvernance saine des réserves administratives, espaces destinés à l’érection des infrastructures socioéconomiques, les mesures prises par le Conseil des ministres font suite à un rapport de mission qui a relevé « de graves dysfonctionnements dans la gestion » desdites réserves dans nombre de communes en plus « du défaut de préservation ».
Alassane Seïdou, ministre de la Décentralisation et de la Gouvernance locale, donne un coup d’accélérateur à la mise en œuvre de la décision gouvernementale sur la suspension de la cession des réserves administratives et leur recensement. Le ministre, à travers un message radio, à la suite de la décision prise en Conseil des ministres, le 24 juin dernier, a appelé non seulement les préfets et les autorités communales à suivre la nouvelle dynamique, mais aussi accomplir les diligences attendues dans un délai de 45 jours. Le délai imparti, lit-on dans le message radio numéro 650/Mdgl/Dc/Sgm/Ctj/Sa, expire le vendredi 18 septembre prochain. Et depuis quelques jours, c’est le branle-bas au niveau des mairies. Les maires et les membres de leurs équipes dirigeantes, notamment les cadres des services des Affaires domaniales, donnent le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire aux attentes du gouvernement. La circulaire adressée aux préfets, en début de ce mois d’août, les engageant à prendre « les dispositions idoines » en vue « de veiller à l’exécution sans délai par les maires » de la décision, rappelle les diligences à accomplir. Lesquelles sont relatives à l’établissement de la situation exacte de toutes les opérations de lotissement et de remembrement et la suspension de leur cession. La production de l’inventaire des réserves existantes, la mise à disposition de l’ensemble des contrats liés aux opérations de lotissement et le point financier de l’exécution des différents contrats font également partie des décisions prises par le gouvernement qui entend empêcher la cession opportuniste des réserves administratives dans toutes les communes. Préalables à l’instauration d’une gouvernance saine des réserves administratives, espaces destinés à l’érection des infrastructures socioéconomiques, les mesures prises par le Conseil des ministres font suite à un rapport de mission qui a relevé « de graves dysfonctionnements dans la gestion » desdites réserves dans nombre de communes en plus « du défaut de préservation ».