Après plusieurs années passées sans activités : l’APEFS renaît de ses cendres samedi prochain pour mieux impacter

Publié le mardi 25 aout 2020 | Educ'Action

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Edith Ouassa, la présidente du comité d’organisation

Restée plusieurs années sous silence et sans activités, l’Association pour la Promotion de l’Economie Familiale et Sociale (APEFS) renaît ce samedi de ses cendres pour impacter à nouveau la corporation des enseignants de cette discipline comme c’est le cas à sa création en 2003.

Professeurs d’Economie Familiale et Sociale provenant de tous les départements du Bénin se retrouvent en Assemblée Générale le samedi 29 août 2020 au CEG Sainte-Rita pour remettre l’association sur les rails. L’objectif, c’est de pouvoir redorer l’image de l’économie familiale et sociale dans le contexte actuel, d’améliorer les conditions de vie et de travail des enseignants de cette discipline. Approchée pour s’enquérir du niveau d’avancement des préparatifs, Edith Ouassa, la présidente du comité d’organisation rassure que tout est fin prêt pour accueillir les participants. « Après la cérémonie d’ouverture, il y aura un panel autour du thème : apport de l’Economie Familiale et Sociale dans la vie. Trois invités vont animer ce panel. Après le panel, nous allons nous retrouver en commission pour relire nos textes pour essayer de les adapter au contexte actuel parce que depuis 17 ans, ils n’ont pas été touchés. Donc, on va essayer de les amender et de les coller à la réalité d’aujourd’hui. Après cela, il y aura la plénière qui va adopter toutes les modifications et pour finir, il y aura l’élection d’un nouveau bureau », renseigne-t-elle sur les activités au programme de cette rencontre avant d’ajouter : « Je ne pourrai pas vous dire vraiment les raisons pour lesquelles il n’y a plus eu d’activités depuis ce temps, mais ce qui est certain, c’est que nous avons compris qu’il faut qu’on relance les activités, vu tous les problèmes auxquels la discipline est confrontée aujourd’hui. Nous souhaitons que tous nos invités soient présents, surtout les responsables au plus haut niveau de nos différents ministères de l’éducation à savoir : le MESTFP, le MESRS, le CNE. Nous savons que leur présence pourrait apporter beaucoup dans nos réflexions ».

Edouard KATCHIKPE

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