Rompant avec les codes et pratiques du passé, Ferdinand Lawson fait entendre sa différence. Alors que la pré-campagne s’intensifie au rythme des critiques sur le bilan du Président en exercice - des critiques qui tournent trop souvent à des querelles partisanes stériles et parfois violentes – il appelle à la décence au niveau des échanges et du débat d’idées et s’inscrit résolument dans une dynamique d’action axée vers le futur. Reconnaissons-le, c’est nouveau.
« L’heure n’est pas aux bilans et aux inventaires … »
Les campagnes présidentielles se suivent … et se ressemblent.
Alors que les Béninoises et les Béninois aspirent à un avenir meilleur et à un nouvel essor de leur pays, les échos de la campagne ne leur renvoient que des controverses et des disputes stériles sur le bilan des gouvernements qui se sont succédé depuis la présidentielle de 2016.
« Certes, le bilan s’impose mais il est fait quotidiennement. Il n’est donc plus besoin de le faire. Ce qui importe désormais c’est le futur, la prospective ! » clame le candidat qui souhaite consacrer toute son énergie à façonner le futur du pays.
Pour Ferdinand Lawson, ces bilans les béninoises et les béninois les ont déjà faits. Ils le font en permanence, relayés en cela par les réseaux sociaux.
Les entrepreneurs l’on fait en constatant la dernière ligne de leurs bilans, en mesurant l’évolution de leur chiffre d’affaires ou en se heurtant aux contraintes ou aux lourdeurs administratives.
Les jeunes l’ont également fait lorsqu’ils pèsent leurs chances de trouver un emploi ou d’apprendre un métier.
Et que dire des femmes résignées au moment de faire leurs courses ou face aux pesanteurs sociales qui bloquent leur épanouissement et celui de leur enfants ?
Et que dire des sages, mémoire du patrimoine ancestral, conscients du savoir-faire, de l’énergie créatrice et de l’esprit d’entreprise de leur pays ?
« J’ai mûri mon projet à l’écoute des gens du peuple en sillonnant le pays et au travers de mes contacts incessants en Afrique, en Europe, aux Etats-Unis et mon action s’inscrit hors des expériences passées. Elle se nourrit de cette mosaïque d’aspirations dont je suis imprégné et qui ont fait de moi en homme neuf tout entièrement absorbé par ma responsabilité de répondre aux attentes de tous ces gens qui croient en une résurgence pérenne du Bénin. »
« … mais au futur et à la création de solution nouvelles. »
La voix de Ferdinand Lawson s’élève au-dessus de la mêlée. Discrète mais puissante elle a de plus en plus de résonnance. Pragmatique et novateur, Ferdinand Lawson, candidat à la présidentielle de 2021, exhorte ses partisans à ne pas verser dans les polémiques du passé ou à répondre aux attaques
personnelles mais à rassembler autour de solutions nouvelles et efficaces afin de mettre le Bénin sur la voie d’un essor durable.
Se définissant lui-même comme un humaniste social, réformiste et pragmatique, le Président du MRD (Mouvement République et Démocratie) est résolument focalisé sur le futur et l’action positive. Balayant résolument, d’un revers de la main, toute communication ou tout acte qui ne nourrit concrètement ses projets pour le Bénin.
Un homme d’action, moderne et pragmatique
« Toute mon énergie est consacrée à la création d’un nouveau futur pour le Bénin. Je ne suis pas là pour faire le bilan ou critiquer l’action du gouvernement en place. C’est un exercice stérile et ce ne serait pas servir les Béninois et les Béninoises que d’y prêter flanc. »
Animé par un esprit volontariste, Ferdinand Lawson n’a jamais hésité à faire bouger les lignes par ses initiatives innovantes et consensuelles visant à aider son pays et tout le continent africain. Dès la fin des années 1990, conscient du rôle majeur de l’agriculture, il investit dans une parcelle à Zinvié dont il confie l'exploitation aux villageois.
À une époque où la croissance de l’Afrique semblait une utopie, Il co-fonde et préside le Club Afrique dont la mission est de développer les relations politiques et économiques de l'Afrique à l'international.
Il a également été l’un des promoteurs de l’Organisation pour l’Harmonisation du droit des affaires en Afrique (OHADA) visant à combattre la chute des investissements sur le continent grâce à un cadre juridique commun dans le domaine économique et du droit des affaires. Ferdinand Lawson insistant à l’époque sur des thèmes qui lui sont chers : un cadre juridique permettant de sécuriser les investissements et de traiter la résolution des conflits entre personnes morales et entre personnes physiques.
Redonner l’espoir à tous ceux qui ne croient plus aux promesses des politiques
« Ma gouvernance marquera la début d’une nouvelle ère dans le paysage politique. »
Le candidat Lawson ne veut pas exclure mais au contraire rassembler et mettre en commun les énergies de tous pour gagner. Il compte pour cela s’appuyer sur la nouveauté de sa démarche consistant à sillonner le pays ou voyager à la rencontre de la diaspora pour s’imprégner des réalités concrètes à l’écoute des femmes, des hommes, jeunes et plus âgés qui font la réalité du Bénin d’aujourd’hui et auxquels il dédie sa candidature. Les enquêtes qu’il diligente dans le pays à l’écoute des habitants ont révélé plébiscitent une nouvelle gouvernance commune fondée sur les besoins réels de la population.
Ses échanges permanents à l’international et sur le Continent ont également fait émerger une diplomatie économique visant à ouvrir véritablement la francophonie à des relations commerciales étendues et intenses entre États du nord et États du sud au sein d’un alliance gagnant-gagnant, ouvrant des vraies possibilités de commerce. Ferdinand Lawson appelle ainsi de ses vœux un « Commonwealth africain ».
« Mon programme est un contrat entre Ferdinand Lawson et son peuple. » martèle le candidat à la Marina. Là aussi, le ton est nouveau.