Proclamé vainqueur de la présidentielle, l'euphorie d'Uhuru Kenyatta et de ses partisans devrait être vite dissipée dans les jours à venir. Le nouveau Président kenyan traine deux grosses épines. Il lui faut gérer la contestation de sa légitimité, doublée d'une menace de la Cour pénale internationale qui plane sur sa tête, telle une épée de Damoclès.... suite de l'article sur La Nouvelle Tribune