Lutte contre la corruption au Bénin : Louis G. Vlavonou et les siens ont joué un rôle prépondérant dans l’atteinte des résultats

Publié le jeudi 17 decembre 2020 | Autre presse

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Louis Gbèhounou Vlavonou, président de l’Assemblée nationale

Au Bénin, les murs de la corruption ne sont pas encore totalement tombés. Mais d’ores et déjà, on peut se réjouir des bons points dont les organisations internationales de la lutte contre la corruption créditent le Bénin.

El-Hadj Affissou Anonrin

La forte volonté politique clairement affichée par le gouvernement du Président Patrice Talon porte en tout cas ses fruits. De la 95ème place sur 180 pays, le Bénin est passé entre 2016 et 2019, selon le classement de Transparency International, à la 80ème place. Ceci, sur l’echelle des États les moins corrompus du monde. Comme on peut donc le constater, le Bénin, en seulement 04 ans a ainsi réalisé un bond de 15 places en avant et se hisse aujourd’hui dans le top 10 des Nations les moins corrompus d’Afrique. Ces résultats reluisants n’ont pas été obtenus sans le concours précieux des députés. De la 7e à la 8è législature que préside en ce moment l’honorable Louis G. Vlavonou, d’importants actes allant dans le sens de l’accompagnement du gouvernement à inverser la courbe de la corruption en République du Bénin ont été posés par le vote de lois de grandes portées. Aujourd’hui, on peut, sans risque de se tromper affirmer que l’expérience du Bénin enseigne sur la force de la lucide volonté politique partagée qui ne se laisse ni distraire ni corrompre par aucune considération personnelle partisane.

Comme l’a si bien dit Mme Mariam Chabi Talata épouse Zimé le 16 décembre 2020 à l’ouverture d’un séminaire organisé par l’Assemblée Nationale à l’intention des députés membres de la section béninoise du Réseau des parlementaires engagés pour la lutte contre la corruption, « Le pouvoir exécutif béninois accompagné par le législatif et le judiciaire s’est doté d’outils de mécanismes et de stratégies qui ont permis au Bénin de commencer par sortir de son enlisement ». Pour le moins qu’on puisse dire, la création de la Cour de répression des Infractions économiques et du Terrorisme (CRIET) a été déterminante dans les progrès réalisés par le Bénin.

La pédagogie par l’exemple

En dehors des nombreuses lois qu’elle a votées pour accompagner le gouvernement, l’Assemblée nationale du Bénin joue bien sa partition dans le cadre de la lutte contre la corruption au Bénin en s’efforçant sur le plan administratif d’être un modèle, un exemple dans le respect des biens publics. Le président Louis Gbèhounou VLAVONOU attaché au devoir d’exemplarité a inséré dans l’organigramme administratif du Parlement, des structures telles que : la Cellule de contrôle des marchés publics et la personne responsable des marchés publics. Les députés de la huitième législature conscients eux aussi de ce devoir d’exemplarité subissent aujourd’hui comme des élus acquis. Même l’opposition reproche tout sauf la corruption et le détournement des deniers publics. L’essentiel désormais est de maintenir le cap.

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