‘’Au bout de la patience, il y a le ciel’’. Il n’y a rien de tel que ce proverbe africain pour aborder au mieux la décision que viennent de prendre les autorités nigérianes de procéder à la réouverture des frontières de leur pays. Il aura fallu pour cela près d’un an et demi pour réaliser que ‘’Chacun a besoin de l’autre pour se révéler’’, comme le dit une sagesse africaine, et surtout que ‘’Celui qui doit vivre survit même si tu l’écrases dans un mortier’’. Résilience dont le Bénin a fait preuve au-delà de toute espérance, car il était entendu que lorsque le Nigeria éternue, le Bénin s’enrhume ! Mais, suite à la fermeture de frontières en cause, il n’en a rien été ! Et pour cause,
‘’ On ne peut pas peindre du blanc sur du blanc, du noir sur du noir’’.
Le Bénin doit cet exploit à l’ingéniosité de son président qui n’a de cesse de magnifier la grandeur du pays dont on nous a longtemps martelé qu’il est si petit. Sans fanfaronner, disons qu’une mer calme ne peut former de marins d’expérience. Se réappropriant le leitmotiv engageant à compter sur ses propres forces, les Béninois ont su inventer leurs bouées de sauvetage plutôt que de continuer à miser sur la perfusion qu’offrait un marché nigérian dont on serait imbécile de croire qu’il n’est pas porteur. Certes porteur, mais tout aussi toxique à l’économie béninoise. Et l’on gagne à le savoir, suite à cette mise à l’épreuve, difficile mais très instructive. Preuve que ‘’Celui qui est impatient d’avoir un enfant épousera une femme enceinte’’. Chose sur laquelle cette situation qui aurait dû être une mésaventure nous a édifiés. Tout est bien qui finit bien, ou tel est pris qui croyait prendre? Quelle leçon tirer de cette aventure, sinon que ‘’La nuit dure longtemps mais le jour finit par arriver’’? Aussi, le fameux ‘’géant’’ de l’Est apprend que ‘’ Si tu es riche mais point généreux, c’est comme si tu n’avais rien’’.
‘’Au bout de la patience, il y a le ciel’’. Il n’y a rien de tel que ce proverbe africain pour aborder au mieux la décision que viennent de prendre les autorités nigérianes de procéder à la réouverture des frontières de leur pays. Il aura fallu pour cela près d’un an et demi pour réaliser que ‘’Chacun a besoin de l’autre pour se révéler’’, comme le dit une sagesse africaine, et surtout que ‘’Celui qui doit vivre survit même si tu l’écrases dans un mortier’’. Résilience dont le Bénin a fait preuve au-delà de toute espérance, car il était entendu que lorsque le Nigeria éternue, le Bénin s’enrhume ! Mais, suite à la fermeture de frontières en cause, il n’en a rien été ! Et pour cause,
‘’ On ne peut pas peindre du blanc sur du blanc, du noir sur du noir’’.
Le Bénin doit cet exploit à l’ingéniosité de son président qui n’a de cesse de magnifier la grandeur du pays dont on nous a longtemps martelé qu’il est si petit. Sans fanfaronner, disons qu’une mer calme ne peut former de marins d’expérience. Se réappropriant le leitmotiv engageant à compter sur ses propres forces, les Béninois ont su inventer leurs bouées de sauvetage plutôt que de continuer à miser sur la perfusion qu’offrait un marché nigérian dont on serait imbécile de croire qu’il n’est pas porteur. Certes porteur, mais tout aussi toxique à l’économie béninoise. Et l’on gagne à le savoir, suite à cette mise à l’épreuve, difficile mais très instructive. Preuve que ‘’Celui qui est impatient d’avoir un enfant épousera une femme enceinte’’. Chose sur laquelle cette situation qui aurait dû être une mésaventure nous a édifiés. Tout est bien qui finit bien, ou tel est pris qui croyait prendre? Quelle leçon tirer de cette aventure, sinon que ‘’La nuit dure longtemps mais le jour finit par arriver’’? Aussi, le fameux ‘’géant’’ de l’Est apprend que ‘’ Si tu es riche mais point généreux, c’est comme si tu n’avais rien’’.