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Dédicace de "Mémoire du Chaudron": Luc Atrokpo reçoit son coffret

Publié le vendredi 15 janvier 2021  |  Matin libre
Luc
© Autre presse par DR
Luc Atrokpo,Le maire de Bohicon, président de l’Union des communes du Zou (UCOZ)
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(Le maire de Cotonou renouvelle ses amitiés à Tiburce Adagbé)

Le Maire de la Municipalité de Cotonou a reçu hier, jeudi 14 janvier 2021, dans son bureau, un exemplaire dédicacé du livre “Mémoire du Chaudron”, des mains de son auteur. Occasion pour Luc Atrokpo de féliciter, de remercier Tiburce Adagbé pour ce geste et de lui renouveler toutes ses amitiés.

L’essai politique “Mémoire du Chaudron” continue de côtoyer les autorités politico-administratives béninoises. Ainsi, c’est le tour du patron de l’hôtel de ville de Cotonou, de recevoir un exemplaire dédicacé du livre. Au cours d’un tête-à-tête entre l’autorité municipale et l’auteur, ce dernier a rappelé le cadre dans lequel intervient cette remise symbolique de son livre. Dans sa prise de parole, Tiburce Adagbé a tenu, avant tout propos, à remercier Luc Atrokpo qu’il dit être un frère et un ami, pour l’accueil. Ensuite, il inscrit cette démarche dans une gratitude face au soutien dont il dit avoir eu droit de la part de Luc Atrokpo, lors du lancement du livre. « Je suis venu dire ma joie de pouvoir, ensemble avec lui, rendre grâce au Seigneur, pour ses hauts faits. Je suis venu aussi lui témoigner à nouveau mes sentiments de fraternité et d’amitié. J’ai profité pour lui remettre très officiellement un exemplaire du ‘’Mémoire du Chaudron’’. J’espère qu’au nombre de toutes les activités qu’il aura en une journée, il va désormais inscrire la lecture d’au moins un feuillet au quotidien de ce livre et certainement, on se retrouvera pour son retour de lecture », espère enfin Tiburce Adagbé.

A son tour, le Maire de Cotonou en recevant le livre, n’a pas manqué de donner ses impressions. A l’écouter, c’est une joie pour lui d’avoir revu un ami pour ne pas dire un frère. « Joie aussi d’avoir reçu cet essai. Vous savez très bien qu’écrire un essai n’est pas chose facile, chose aisée. J’imagine quelles difficultés rencontrerait-on en écrivant un essai politique. Si déjà écrire un essai n’est pas facile, écrire un essai politique serait plus compliqué. Avec tout ce que cela comporte comme risque, comme volonté surtout dans son cas de relater les choses telles qu’elles sont. Je voudrais l’encourager à continuer dans cet exercice qui n’est pas facile. J’aurais souhaité qu’il soit accompagné dans ce qu’il fait. Je pense que nous avons l’obligation tant que nous pouvons de faire l’effort pour que la restauration de la place de la culture soit quelque chose de primordiale pour nous. Une fois encore merci à lui de m’avoir dédicacé cet essai et plaise à Dieu, que le lendemain soit meilleur que ce que nous avons connu pour que cet essai reste au-delà de nous tous », a laissé entendre Luc Atrokpo.

J.G
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