Le « président-patron » est candidat à un second mandat, avec un bilan économique honorable compte tenu du contexte de crise mondiale. Face à lui, une opposition affaiblie, profondément bousculée par les réformes politiques, dénonce un scrutin joué d’avance.
« Je serai candidat pour défendre la démocratie, nos libertés et la bonne gouvernance. » Depuis Adjohoun, dans l’Ouémé, Patrice Talon a officialisé vendredi 15 janvier son intention de briguer un deuxième mandat, le 11 avril prochain. Une candidature « pour rendre durable la bonne gouvernance jusqu’à ce que cela soit un acquis pour chacun et pour tous », a-t-il affirmé, affichant sa volonté de « rester dans la dynamique ».... suite de l'article sur Jeune Afrique