Alors que l’esprit fondant son institution d’ailleurs relayé par la Céna, préconise l’anonymat en vue de la sécurité et d’une égalité de chances entre les prétendants pour la course à la Marina, le parrainage fait déjà objet de chantages de la part de certains élus. En attendant d’être approchés pour leur devoir, ceux-ci agissent à orienter sur leur choix remettant en cause toute possibilité de parrainer des candidas pas de leur obédience politique. Des propos de députés ou maires se comportant de la sorte, il transparait que tout est déjà ficelé et que rien n’est à espérer pour les aspirants à la fonction présidentielle pas de la mouvance. Un parlementaire et un maire après le retrait de leur formulaire de parrainage à la Céna, sont allés jusqu’à dévoiler le candidat de leurs intentions piétinant la directive de la Céna de faire les choses dans l’anonymat. Une attitude à décourager pour amener à la raison les élus concernés afin d’éviter de faire du parrainage, un outil de marchandage à des fins pécuniaires ou politiciennes. La Céna structure en premier concernée, devra agir pour rappeler à l’ordre ces députés et maires qui affichent déjà l’intention d’abuser des prérogatives pour contribuer au filtrage des candidatures pour le scrutin du mois d’Avril. Le Chef de l’Etat également qui a tout le temps rassuré lors de sa tournée de la prise en compte des candidatures de toutes les obédiences politiques, ne perdrait pas à rappeler aux élus concernés, le grand nombre d’ailleurs ses soutiens, les principes qui devront guider leurs actions à cet effet.