Le ministre de l’Énergie, Dona Jean-Claude Houssou, se préoccupe de la santé des agents de son département ministériel et des structures sous tutelle. C’est d’ailleurs pourquoi il a installé, hier mardi 09 mars 2021, les membres du bureau du Programme sectoriel de lutte contre le Vih-Sida, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies en milieu de travail.
Le ministère de l’Énergie dispose désormais d’un bureau du Programme sectoriel de lutte contre le Vih-Sida, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies en milieu de travail. Les membres de cette unité sectorielle ont été installés par le ministre Dona Jean-Claude Houssou. Selon l’autorité ministérielle, le ministère de l’énergie exécute un volume important des travaux énergétiques sur le terrain qui font déplacer les équipes de projet. Ceux-ci sont exposés au risque de transmission du Vih-Sida, les Ist et autres maladies lors des brassages avec les prestataires informels de service sur les chantiers. C’est donc dans le souci de l’épanouissement et le bien-être social et physique du personnel qu’il a décidé de mettre en place un tel bureau. Son leitmotiv est que la bataille contre les différentes maladies transmissibles ou non et les pandémies ne peut être remportée seulement par les individus, mais aussi grâce aux efforts concertés de tous les acteurs ou actrices. « Note objectif est ambitieux, mais pas irréaliste. Il est de réduire ou d’éliminer les épidémies et d’éradiquer le sida d’ici 2030 », a-t-il confié. Pour la cheffe Cellule genre et développement du Ministère de l’Energie, cette installation qui se tient au lendemain de la Journée internationale de la femme n’est pas le fruit d’un hasard. Elle est l’occasion pour les femmes de ce ministère de comprendre une fois encore que le ministre Houssou fait non seulement leur promotion dans les instances de prise de décision, mais aussi celle de leurs droits, en particulier le droit à la santé. « C’est la preuve que le bienêtre physique et moral du personnel et des femmes en particulier tient beaucoup au ministre de l’Energie », a fait observer Anne-Marie Gnancadja.