La tension est montée d’un cran au Bénin après la mort de deux personnes lors de la dispersion de manifestants à balles réelles dans le centre du pays. Un contexte qui fait redouter à certains une censure d’internet. Lors des élections législatives de 2019, la journée de vote avait été marquée par une coupure de connexion.
De notre envoyée spéciale à Cotonou,
« Pour le moment, ça marche, mais on est inquiet pour le jour J », explique Eskile, un jeune vendeur du centre de Cotonou, ses deux téléphones portables à la main. « Il y a des rumeurs qui disent qu’avec la crise, ils pourraient couper pour empêcher la diffusion de fake news sur les réseaux sociaux », souligne Sidi Mohammed, conducteur de zem, les taxi-motos béninois.... suite de l'article sur RFI