Le président de la transition et son Premier ministre ont été interpellés par des militaires et conduits au camp de Kati, d’où le putsch contre Ibrahim Boubacar Keïta était parti, en août dernier.
La composition du nouveau gouvernement venait à peine d’être annoncée sur les antennes de l’ORTM que la situation à Bamako s’est subitement tendue. Des mouvements de troupes ont été observés au camp militaire de Kati, à une quinzaine de kilomètres de Bamako, ainsi que dans plusieurs points de la capitale.... suite de l'article sur Jeune Afrique