L’opposante béninoise poursuivie pour « association de malfaiteurs et terrorisme » a saisi le groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire. Dépeinte comme un agent déstabilisateur par les fidèles de Patrice Talon, elle est érigée en figure de la résistance par ses soutiens.
18 avril 2016. Faure Essozimna Gnassingbé, Patrice Talon et Thomas Boni Yayi gravissent d’un même pas énergique les marches recouvertes d’un tapis rouge. Elles les mènent à Alassane Ouattara, qui les attend dans sa résidence d’Abidjan, pour une rencontre de « réconciliation » entre le « roi du coton » devenu président et son prédécesseur, en guerre ouverte depuis plusieurs mois.... suite de l'article sur Jeune Afrique