Les mouvements de protestation contre, entre autres, les «irrégularités» d’un concours de recrutement, ou contre des mutations «fantaisistes» ou même pour réclamer des arriérés de salaires sont, soit réprimés, soit simplement «non autorisés».
Les grèves? «Non». Elles ne sont pas interdites mais elles ne sont tout simplement pas autorisées. Et cela, peu importe qu’il s’agisse d’un droit acquis, comme le salaire, ou pour dénoncer une situation de mal gouvernance ou de fraude. C’est ce qui attire aujourd’hui l’attention des observateurs de la vie sociale au Bénin pour qui les libertés fondamentales, notamment celles syndicales, sont en train d’être mises en cause.... suite de l'article sur La Nouvelle Tribune