Il faut impérativement assurer un accès plus équitable aux vaccins pour les pays en développement : c’est le plaidoyer puissant livré par les dirigeants mondiaux et régionaux et les représentants du secteur privé, de la société civile et de la jeunesse réunis par la Banque mondiale lors d’un événement qui a aussi permis de mettre l’accent sur l’importance de se doter de systèmes de santé robustes pour réussir les campagnes de vaccination et mieux se préparer au risque pandémique.
Les dirigeants des organisations constituant l’Équipe spéciale chargée des vaccins, traitements et outils de diagnostic relatifs à la COVID-19 dans les pays en développement ont apporté leur éclairage sur les conditions nécessaires pour mettre fin à la pandémie et jeter les bases d’une reprise réellement inclusive.
Aux Philippines, une mère et sa fille ont raconté leur expérience de la pandémie, tandis qu’un reportage en Côte d’Ivoire a illustré l’impact de l’aide de la Banque mondiale sur le système de santé et la population du pays.
Le directeur général de la Société financière internationale (IFC) a animé une discussion sur le rôle capital joué par le secteur privé dans la lutte contre la COVID.
Le sous-directeur des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (CDC Afrique) a insisté sur la nécessité d’une collaboration régionale pour combattre la pandémie.
Les représentants de la société civile ont mis en lumière l’action menée par leurs organisations, mais aussi exprimé ce qu’elles attendent des organisations internationales.
Enfin, les experts du Groupe de la Banque mondiale ont répondu aux questions du public.
L’événement s’est conclu avec les témoignages de jeunes du monde entier, pour dire ce que la vaccination changera dans leur vie et celle de leur communauté.