Dans une région qui semble avoir pris un goût immodéré aux coups d’État militaires depuis deux ans, le putsch raté contre le Président Umaro Sissoco Embalo, malgré ses mystères, rajoute aux inquiétudes ambiantes et laisse planer le doute sur un effet domino potentiel.
Le 30 janvier 2022, "heureux" d’assister à l’intronisation du président de l’Union des imams de Guinée-Bissau, Thierno Suleyman Baldé, le Président Umaro Sissoco Embalo n’avait sans doute pas à l’esprit que son pouvoir vacillerait dangereusement 48 heures plus tard. Le 28 janvier, en recevant au palais présidentiel les nouveaux membres du gouvernement issus d’un remaniement ministériel, il ignorait également qu’un putsch se mijotait à son insu.... suite de l'article sur Autre presse