Face à l’érosion des côtes, destructrice et parfois meurtrière, l’installation de grands épis de pierre et le reboisement des plages sécurisent les habitants.
Tout au long du littoral béninois, des traces des assauts de l’océan Atlantique. Par endroits, la côte est défigurée par l’avancée de l’eau. À Cotonou, des quartiers entiers ont été engloutis. Sur la plage d’Akpakpa, des fondations de maison subsistent, tandis que d’autres se retrouvent en péril imminent. « Il y a trente ans, avant d’arriver sur la plage, vous deviez traverser 17 rues à partir d’ici, se souvient Alavo Éric Paiffait, pêcheur. Des habitants du quartier sont morts, brutalement emportés. » Et des centaines d’autres ont déménagé.... suite de l'article sur Autre presse