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Émission Eco d’ici, Eco d’ailleurs L’intégralité des propos du ministre d’Etat Romuald Wadagni sur RFI

Publié le samedi 11 juin 2022  |  24 heures au Bénin
Romuald
© aCotonou.com par Dr
Romuald Wadagni,ministre de l’Economie et des Finances
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Le ministre d’Etat Chargé de l’Economie et des Finances était le Grand invité de l’Économie RFI/Jeune Afrique dans l’émission Eco d’ici, Eco d’ailleurs. Durant environ 48 mn , il a détaillé sa vision de l’économie, de l’avenir du Bénin et de l’Afrique : la lutte contre l’inflation, les questions alimentaires, agricoles, énergétiques, industrielles, les questions monétaires (la réforme du franc CFA), le financement des économies africaines, l’emploi, le développement du secteur privé, l’éducation…le libre-échange en Afrique,le rôle de la BCEAO, la réforme du Franc CFA et le Financement des économies africaines.

Votre journal publie ici l’intégralité de ses propos

Jeune Afrique : Romuald Wadagni, vous qui êtes un ardent défenseur du secteur privé, le retour de l’Africa CEO Forum, après deux années de Covid, c’est le signe que tout redevient possible sur le continent. La pandémie est-elle oubliée ?
Romuald Wadagni : Non, cela ne veut pas dire qu’on ne pense plus à la pandémie, mais qu’il faut aller de l’avant. Il faut trouver les moyens de vivre avec la pandémie.
Le retour de l’ACF était très attendu parce que c’est la principale plateforme où les grands décideurs privés se réunissent entre eux, et profitent aussi de la présence des décideurs politiques pour réfléchir aux enjeux auxquels les uns et les autres font face.
Revenons à l’actualité économique. Depuis quelques mois, on assiste au Bénin, comme ailleurs dans le monde, au retour de l’inflation. Est-ce lié à de vraies pénuries ou à de la spéculation ? Qu’observez-vous dans votre pays ?
Aujourd’hui, c’est un mixte des deux. Nous notons des phénomènes de spéculation sur certains produits dont nous avons régulé le prix, l’huile par exemple. Certains commerçants gardent leur stock et tentent de le vendre sous le manteau. Mais le plus important, c’est ce qui est en train d’arriver, avec la hausse des prix des intrants agricoles.
... suite de l'article sur 24 heures au Bénin

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