Le Bénin est un pays à vocation agricole et reste compétitif sur plusieurs spéculations dans la sous-région aussi bien pour les cultures de rente (le coton, le soja, l’ananas, l’anacarde) que pour les cultures de sécurité alimentaire et qui aussi, depuis plusieurs années participent aux transactions transfrontalières (le maïs, le riz, le manioc, les cultures maraîchères, etc.).
Ces cultures sont pour la grande majorité tributaire d’une consommation nécessaire et régulière en engrais minéraux dont les fluctuations en matière de prix ou de disponibilité entravent la production et la disponibilité dans le temps des denrées.
Depuis 2016, les nombreuses réformes engagées par le secteur par le nouveau Gouvernement ont renforcé les dynamiques de performance et la compétitivité des filières et un regain d’intérêt réel pour les grandes cultures.
Ceci a accru la consommation des intrants agricoles et l’anticipation sur les stress d’insécurité alimentaire induits par les aléas climatiques qui se sont exacerbé les trois (3) dernières avec des effets conjugués de la COVID 19.... suite de l'article sur Autre presse