La Cop, du petit nom de la Conférence des parties qui mène la réflexion périodiquement pour trouver des solutions aux problèmes qui se posent avec acuité à la planète terre. Le must des écolos ! On en est à la 27e qui se tient actuellement en Egypte, sans qu’on ne voie le bout du tunnel, tellement cette grand-messe parait répétitive, du genre de ces grandes rencontres, si importantes qu’on aime bien à les voir se tenir au point de se laisser prendre au piège par leur ritournelle. Il faut juste prendre garde à ce qu’on n’en arrive à la 72e ! Et sans que les solutions, identifiées et objet de la Cop, ne soient concrétisées.
Il y est toujours question de soigner les bobos de notre grosse boule bleue, de panser ses plaies et de la requinquer. Pas facile comme entreprise, car les résistances sont encore farouches, en dépit des diagnostics inquiétants et des alertes faisant état d’un électrocardiogramme plat imminent. Et ce n’est pas exagéré de parler de résistances farouches et même rageuses ! C’est le fait des climatosceptiques, du nom de ceux-là qui ne croient pas aux menaces climatiques, qui se défient de toute idée selon laquelle des excès et déviances de notre mode de vie actuel pouvaient provoquer sa perte. Les plus dangereux sont les dirigeants de certains Etats qui entendent bien atteindre le même niveau de pollution que les plus grands pollueurs actuels avant d’envisager les solutions préconisées, qu’ils ne récusent pas paradoxalement !
Si l’on en croit ces derniers, on peut continuer à couper les arbres à volonté, à flamber le mazout à souhait, continuer les activités mortifères à la couche d’ozone…La hausse du niveau de la mer ? La hausse de la température des océans ? L’intensification des précipitations à travers les fortes pluies et grêles ? L’augmentation des cyclones tropicaux violents ? L’augmentation des périodes d’aridité et de sécheresse ? Toutes ces conséquences du fait de l’homme qui provoque les dérégulations seraient des fadaises, selon ces grands irresponsables dits climatosceptiques qui, dans leur déni d’une réalité atroce et périlleuse, se refusent aussi d’ouvrir leurs yeux sur les drames qui se jouent ici et là : à l’image devenue iconique de l’ours polaire en souffrance du fait du recul et de la fonte des glaces en Arctique, il faut associer celle de cette pauvre paysanne qui ne peut plus vivre du travail de sa terre car la pluie n’est plus au rendez-vous habituel, celle du pêcheur dont les prises se font rare et pour qui la disette n’est pas que présente dans les mailles du filet mais aussi dans son ventre qui sonne creux et ses modiques besoins insatisfaits…Et que dire de ces coups de chaleur intense ou de froid intenable dont tous nous sommes témoins désormais, et de plus en plus ?
La Cop, du petit nom de la Conférence des parties qui mène la réflexion périodiquement pour trouver des solutions aux problèmes qui se posent avec acuité à la planète terre. Le must des écolos ! On en est à la 27e qui se tient actuellement en Egypte, sans qu’on ne voie le bout du tunnel, tellement cette grand-messe parait répétitive, du genre de ces grandes rencontres, si importantes qu’on aime bien à les voir se tenir au point de se laisser prendre au piège par leur ritournelle. Il faut juste prendre garde à ce qu’on n’en arrive à la 72e ! Et sans que les solutions, identifiées et objet de la Cop, ne soient concrétisées.
Il y est toujours question de soigner les bobos de notre grosse boule bleue, de panser ses plaies et de la requinquer. Pas facile comme entreprise, car les résistances sont encore farouches, en dépit des diagnostics inquiétants et des alertes faisant état d’un électrocardiogramme plat imminent. Et ce n’est pas exagéré de parler de résistances farouches et même rageuses ! C’est le fait des climatosceptiques, du nom de ceux-là qui ne croient pas aux menaces climatiques, qui se défient de toute idée selon laquelle des excès et déviances de notre mode de vie actuel pouvaient provoquer sa perte. Les plus dangereux sont les dirigeants de certains Etats qui entendent bien atteindre le même niveau de pollution que les plus grands pollueurs actuels avant d’envisager les solutions préconisées, qu’ils ne récusent pas paradoxalement !
Si l’on en croit ces derniers, on peut continuer à couper les arbres à volonté, à flamber le mazout à souhait, continuer les activités mortifères à la couche d’ozone…La hausse du niveau de la mer ? La hausse de la température des océans ? L’intensification des précipitations à travers les fortes pluies et grêles ? L’augmentation des cyclones tropicaux violents ? L’augmentation des périodes d’aridité et de sécheresse ? Toutes ces conséquences du fait de l’homme qui provoque les dérégulations seraient des fadaises, selon ces grands irresponsables dits climatosceptiques qui, dans leur déni d’une réalité atroce et périlleuse, se refusent aussi d’ouvrir leurs yeux sur les drames qui se jouent ici et là : à l’image devenue iconique de l’ours polaire en souffrance du fait du recul et de la fonte des glaces en Arctique, il faut associer celle de cette pauvre paysanne qui ne peut plus vivre du travail de sa terre car la pluie n’est plus au rendez-vous habituel, celle du pêcheur dont les prises se font rare et pour qui la disette n’est pas que présente dans les mailles du filet mais aussi dans son ventre qui sonne creux et ses modiques besoins insatisfaits…Et que dire de ces coups de chaleur intense ou de froid intenable dont tous nous sommes témoins désormais, et de plus en plus ?