Faciliter l’éclosion des graines de talents. Cette vocation portée par l’initiative gouvernementale d’animation désormais de ‘’classes culturelles’’ est une perspective heureuse. Il s’agit d’un creuset sans commune mesure pour permettre, faciliter l’expression de jeunes talents artistiques qui, sans cela, resteraient muets, inexprimés, à moins d’une occurrence favorable, d’un concours de circonstances qui tient, plus de la providence que de la vocation.
Or, dans aucune discipline, dans aucune matière compétitive, qu’elle soit sportive ou artistique, le talent, même inné, ne s’accomplit sans un minimum d’encadrement. C’est la recette toute simple des résultats des nations qui s’imposent actuellement aux Jeux olympiques, lors des compétitions internationales de football, sur la scène musicale, et sur bien d’autres activités artistiques ou sportives. Rien n’est le fait du hasard, il faut un travail acharné, une quête effrénée d’excellence, dans un cadre tout aussi d’excellence. Fruit de politiques publiques pensées dans un but de développement des talents individuels mais également dans une optique de prestige national, sans occulter les aspects économiques.
La révélation du Bénin, si chère au président Talon, ne saurait être sans le redressement productif intervenu dans cette sphère non moins importante, grâce à l’introduction des classes scolaires dans l’enseignement. Chose qui intègre les actions concourant au développement global national.
Le développement n’étant pas sans l’épanouissement du capital humain, la concrétisation de cette initiative fait évidemment le bonheur de nombreux jeunes qui n’ont ni la tête ni l’esprit à se projeter dans des métiers qui naturellement portent vers les bureaux ou autres cadres conventionnels.
Danser, dessiner, chanter, jouer de la batterie ou la guitare, pour eux autres, c’est du pur bonheur ! Une activité qui, au-delà de la passion ainsi nourrie, rime bien avec la profession qu’ils entendent exercer plus tard. L’absence jusque-là de cadre formel dédié à l’expression de leurs talents, comprimait tant de vocations artistiques, mortes avant de naitre, et qui prendraient lestement leur envol désormais grâce aux classes culturelles. Il est permis de rêver d’une relève digne de Stan Tohon, Angélique Kidjo, et de tant d’autres purs produits des ‘’classes culturelles’’ des années 70-80, de l’émergence certaine de nouvelles virtuoses de la batterie, de la guitare, pour porter haut le drapeau béninois au fronton des grandes nations culturelles.
Faciliter l’éclosion des graines de talents. Cette vocation portée par l’initiative gouvernementale d’animation désormais de ‘’classes culturelles’’ est une perspective heureuse. Il s’agit d’un creuset sans commune mesure pour permettre, faciliter l’expression de jeunes talents artistiques qui, sans cela, resteraient muets, inexprimés, à moins d’une occurrence favorable, d’un concours de circonstances qui tient, plus de la providence que de la vocation.
Or, dans aucune discipline, dans aucune matière compétitive, qu’elle soit sportive ou artistique, le talent, même inné, ne s’accomplit sans un minimum d’encadrement. C’est la recette toute simple des résultats des nations qui s’imposent actuellement aux Jeux olympiques, lors des compétitions internationales de football, sur la scène musicale, et sur bien d’autres activités artistiques ou sportives. Rien n’est le fait du hasard, il faut un travail acharné, une quête effrénée d’excellence, dans un cadre tout aussi d’excellence. Fruit de politiques publiques pensées dans un but de développement des talents individuels mais également dans une optique de prestige national, sans occulter les aspects économiques.
La révélation du Bénin, si chère au président Talon, ne saurait être sans le redressement productif intervenu dans cette sphère non moins importante, grâce à l’introduction des classes scolaires dans l’enseignement. Chose qui intègre les actions concourant au développement global national.
Le développement n’étant pas sans l’épanouissement du capital humain, la concrétisation de cette initiative fait évidemment le bonheur de nombreux jeunes qui n’ont ni la tête ni l’esprit à se projeter dans des métiers qui naturellement portent vers les bureaux ou autres cadres conventionnels.
Danser, dessiner, chanter, jouer de la batterie ou la guitare, pour eux autres, c’est du pur bonheur ! Une activité qui, au-delà de la passion ainsi nourrie, rime bien avec la profession qu’ils entendent exercer plus tard. L’absence jusque-là de cadre formel dédié à l’expression de leurs talents, comprimait tant de vocations artistiques, mortes avant de naitre, et qui prendraient lestement leur envol désormais grâce aux classes culturelles. Il est permis de rêver d’une relève digne de Stan Tohon, Angélique Kidjo, et de tant d’autres purs produits des ‘’classes culturelles’’ des années 70-80, de l’émergence certaine de nouvelles virtuoses de la batterie, de la guitare, pour porter haut le drapeau béninois au fronton des grandes nations culturelles.