À trois ans de la fin de son second mandat, le chef de l’État béninois veut éviter une guerre de succession au sein de sa majorité avant la présidentielle de 2026. Mais, déjà, les spéculations vont bon train.
« Si vous êtes ici pour savoir s’il va se représenter, la réponse est non ! » lâche en souriant un membre de l’entourage du chef de l’État béninois avant même que l’on n’ait engagé la conversation. Depuis la réélection de l’homme d’affaires à la tête du pays, en avril 2021, ses conseillers ont d’ailleurs pris l’habitude d’anticiper « la question que tout le monde se pose » : qui succédera à Patrice Talon au terme de son second et – théoriquement – dernier mandat ?... suite de l'article sur Jeune Afrique