L’annonce de la promulgation de cette loi a rapidement suscité une vague d’indignation et de condamnations de la part des défenseurs des droits humains, des organisations internationales et de nombreux gouvernements occidentaux. Ces acteurs ont fermement dénoncé cette mesure discriminatoire, considérant qu’elle porte atteinte aux droits fondamentaux des personnes LGBTQ+ et qu’elle alimente la stigmatisation et la discrimination dans le pays.
Les critiques soulignent que cette loi représente un recul majeur pour les droits humains en Ouganda, où les personnes LGBTQ+ ont déjà été victimes de persécutions et de discriminations systématiques par le passé. De plus, ils estiment que cette législation est en contradiction avec les principes universels des droits de l’homme et les engagements internationaux auxquels l’Ouganda est partie prenante.
En réponse à cette situation, de nombreux pays occidentaux ont exprimé leur préoccupation et menacé d’imposer des sanctions économiques et diplomatiques à l’Ouganda. Des voix se sont également élevées au sein de la communauté internationale pour exhorter le gouvernement ougandais à reconsidérer cette loi discriminatoire et à respecter les droits et la dignité de tous ses citoyens, quelle que soit leur orientation sexuelle.