À ce jour, seuls 35 des 49 pays d’Afrique subsaharienne sont éligibles au programme américain African Growth and Opportunity Act (Agoa), qui exonère certains pays africains de droits de douanes. Les dernières exclusions annoncées – celles du Gabon, de la Centrafrique, de l’Ouganda et du Niger – visent à envoyer à un message fort : les États-Unis ne transigent pas avec leur vision de la démocratie. Pour Joy Basu, secrétaire d’État adjointe chargée de l’Économie et des affaires régionales en Afrique, ces exclusions n’envoient pas seulement un signal, elles sanctionnent véritablement. Entretien.... suite de l'article sur RFI