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Célébration de la Femme au Ministère de l’Industrie et du Commerce : L’empreinte de Gbèdo reconnue et applaudie
Publié le mardi 19 mars 2013   |  Ministère


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© Autre presse par DR
Me Marie Elise Gbèdo, ministre de l’industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises


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L’édition 2013 de la journée internationale de la femme a revêtue un cachet spécial au ministère de l’Industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises. Une touche particulière que la nouvelle ministre, Me Marie-Elise Gbèdo, activiste convaincue de la cause féminine a voulu mettre sur l’organisation afin de célébrer cette année la femme. C’était le vendredi 15 mars dernier à la Salle Majectic de Cadjèhoun à Cotonou.

Revenue un peu plus tôt de la Turquie avec la délégation présidentielle, Me Marie-Elise Gbèdo, ministre de l’Industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises a tenu à être présente à la commémoration de l’édition 2013 de la Journée Internationale de la Femme dont le thème à l’échelle mondiale est «Une promesse est une promesse. Il est temps de passer à l’action pour mettre fin à la violence a l’égard des femmes ». La présidente du comité d’organisation, Bernadette Assani a tôt fait de rendre un hommage particulier à la nouvelle ministre qui « …s’est impliquée personnellement dans l’organisation de cette mémorable journée que vit les femmes du ministère…». Aussi, a-t-elle émis le vœu que « beaucoup plus de pourvoir soit donnés à la femme béninoise». En effet, les femmes du au ministère de l’Industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises ont pour une première fois véritablement sous la clairvoyance de leur sœur eu droit à une célébration digne du nom selon le directeur de Cabinet, Adam Ahantchédé.

Entourée, du Secrétaire Général, des membres du Cabinet, des Directeurs Centraux, Généraux, Techniques, Départementaux et d’Organismes sous tutelle, du personnel du ministère, Me Marie-Elise Gbèdo a rendu également hommage à toutes les femmes qui ont dirigé ce ministère. « En cette occasion, je me fais l’agréable devoir en notre nom à tous de rendre un hommage mérité au Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, le Président de la République, Docteur YAYI Boni qui a toujours placé au centre de ses préoccupations la condition féminine ; en témoignent les nombreux chantiers ouverts dans ce cadre » a laissé entendre la ministre. Pour elle, «nul n’ignore que la Journée Internationale de la Femme n’a pas ses origines sous un seul fait historique. Elle symbolise d’une part les fruits d’un long processus de luttes, de revendications, de débats, et d’autre part les parcours silencieux de millions de femmes dans le monde entier».

Femme et travail

Au-delà de toute célébration, il est bon de s’interroger sur le vécu quotidien des femmes elles-mêmes et la contribution réelle des unes et des autres à l’amélioration des leurs conditions de vie. C’est pour quoi le ministère a retenu cette année pour commémorer la Journée Internationale de la Femme le thème : «Comment la femme arrive-t-elle a concilier le travail professionnelle avec son rôle d’épouse et de mère ? »

A ce titre, Me Marie-Elise Gbèdo a noté après une discussion nourrit quelques minutes plutôt entre les femmes sur le sujet que : « …il est évocateur à plus d’un titre, qu’il s’agisse de la femme rurale ou de la femme agent de l’Etat. En effet, la femme joue un rôle important dans la société. Epouse et mère, elle participe aux activités économiques. C’est aussi l’occasion d’identifier les difficultés que les femmes doivent surmonter et de se pencher sur les moyens à mettre en place pour améliorer la condition féminine. Les manifestations d’aujourd’hui, loin d’être des évènements de routine, font partie de la détermination de chacune d’entre vous à apporte un plus et une continuité aux acquis de la lutte des aînées».

«Depuis le rétablissement de l’Etat de droit dans notre pays en 1990 par la Conférence des Forces Vives de la Nation, des associations de femmes travailleuses ont commencé par mieux se structurer, à l’instar de l’Association des Femmes Juristes du Bénin, pour défendre les droits et les intérêts des femmes au Bénin. Toutefois, la tendance demeure lente, et nous devons faire vite et mieux » ajoute-t-elle avant de conclure qu’ :«à présent, il revient aux femmes elles-mêmes de prouver leur capacité à animer les différents instruments de promotion mis en place tout en assumant leur rôle d’épouse et de mère».

Cellule de Communication /MICPME

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