Depuis la proclamation officielle des résultats des dernières élections présidentielles au Kenya, tous les yeux sont tournés vers ce grand pays d’Afrique. D’abord, pour le fait que le nouveau président élu, Uhuru Kenyatta, est un « client » pour la Cour Pénale Internationale.
Ensuite, en raison des contestations de Raila Odinga, le candidat malheureux, qui fait craindre une nouvelle montée des violences, comme en 2007-2008, si rien n’est fait pour apaiser les vieilles rancœurs et permettre au pays de s’occuper sereinement des questions de développement.
Raila Odinga, l’éternel deuxième…
L’avenir politique de Raila Odinga semble bien compromis, depuis sa défaite aux dernières élections présidentielles, comme pour celles de 2007 dont nous avons encore à l’esprit les violences postélectorales.
Comme son paternel, Oginga Odinga, le fils Raila n’a point de succès dans le jeu politique kenyan. Il est donc important que nous faisions un tour dans l’histoire pour comprendre pourquoi Raila Odinga tient tellement à accéder à la magistrature suprême de son pays, un peu comme pour mettre fin à une injustice dont son paternel aurait été victime et qui perdure avec lui-même. ... suite de l'article sur La Nouvelle Tribune