Paralysie répétée du Centre hospitalier départemental de l’Ouémé/Plateau : Le Ministre Dorothée GAZARD appelle les grévistes au calme #aCotonou

Santé

Paralysie répétée du Centre hospitalier départemental de l’Ouémé/Plateau : Le Ministre Dorothée GAZARD appelle les grévistes au calme

Publié le mercredi 20 mars 2013 | Ministère

© Autre presse par DR
Dorothée Akoko Kindé Gazard la ministre de la santé

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Dans le dossier

Santé 2013

Paralysie répétée du Centre hospitalier départemental de l’Ouémé/Plateau : Le Ministre Dorothée GAZARD appelle les grévistes au calme

Dorothée GAZARD, ministre de la Santé, s’est prononcée sur la paralysie, depuis quelques jours, du Centre hospitalier départemental de l’Ouémé/Plateau. C’était lundi 18 mars 2013 dans les locaux de son service. Dans sa déclaration, elle a invité les acteurs de la crise, membres du Syntraco, «au calme et à la patience ». Aussi leur demande-t-elle d’avoir foi en la justice. Lire sa déclaration.

«Le Centre Hospitalier Départemental de l’Ouémé et du Plateau vit, depuis quelques semaines, une situation particulière qui fait suite à une décision de justice.
Il s’agit en effet d’un jugement rendu en première instance qui a entrainé la mise aux arrêts d’un agent de l’hôpital, en l’occurrence, le Secrétaire Général du Syndicat des Travailleurs Contractuels de l’hôpital. Le Ministère de la Santé tient à préciser que cette malheureuse situation ne résulte pas d’une difficulté de collaboration avec les partenaires sociaux de l’hôpital. Elle relève plutôt de quelques faiblesses liées au management des ressources humaines, une réalité que le Ministère de la Santé déplore et pour laquelle il met tout en œuvre pour trouver des solutions, aussi bien au sein de cet hôpital que dans tous nos hôpitaux en proie d’une manière générale, à un problème de management. Je voudrais donc rappeler, comme je l’ai dit, en d’autres circonstances, aux partenaires sociaux, qu’au Bénin, le pouvoir exécutif est distinct du pouvoir judiciaire, le Gouvernement ne peut donc interférer dans le fonctionnement des instances judiciaires. Je voudrais encore une fois les appeler au calme et à la patience, afin que nos instances judicaires en qui j’ai tout à fait foi, se prononcent en toute sérénité en seconde instance. Je voudrais rassurer les populations qu’un service minimum est toujours garanti au sein du Centre Hospitalier Départemental de l’Ouémé Plateau.

Je vous remercie.

Commentaires