La proposition de lois déposée par le député Augustin Ahouanvoébla à l’Assemblée nationale par rapport à l’organisation dans un avenir proche des élections locales et communales n’a aucune chance d’aboutir.
C’est ce qui ressort fondamentalement des débats de couloir par rapport à cette lois. Selon une source proche de l’institution parlementaire, cette démarche serait un recul pour notre nation notamment le renforcement de la démocratie à travers l’organisation régulière des consultations électorale et à bonne date.
Les arguments développés par ces derniers en attendant l’enclenchement du processus d’examen, prennent en compte la décision rendue par la cour constitutionnelle et portant sur l’organisation désormais des élections dans notre pays à base d’un fichier électoral informatisé.
Or il se fait que le Parlement a prolongé le mandat des élus locaux et communaux jusqu’à l’avènement d’un fichier électoral propre et consensuel.
Face à cette réalité le Cos/lépi tarde à combler les attentes de tous sur l’aboutissement heureux du processus de correction de la lépi 2011, qui fait l’objet de contestation et de polémique.
Il urge d’appuyer sur l’accélérateur dans un contexte où le Cos/lépi tarde à mettre les moyens à disposition des parlementaires pour leur implication effective dans l’opération de supervision, d’affichage des anciennes listes , envie d’une harmonisation en fonction des nouvelles donnes. Espérons donc que la rencontre prévue ce jour entre responsables du Cos/lépi et les cadres de l’administration parlementaire au sujet de la préparation de la mission parlementaire puisse connaître un heureux aboutissement.